En ces temps parfois confus, il m'est important de préciser que je ne suis ni thérapeute, ni coach certifié. Me définissant avant tout comme un transmetteur (j’aime l’analogie vibratoire des ondes!), une courroie, je me mets au service de celle.ux qui ressentent un besoin de ralentir un moment, re-penser et panser leur contribution au monde, transmettre, avoir un oeil, une grille de lecture différente sur une ou plusieurs problématiques de leur étape de vie en cours !

Ce que je fais au sein de la Venelle, je le fais depuis longtemps de manière formelle ou informelle, une forme de don de soi, d’appel ou de mission de vie. Je me sens bien à faire fleurir, recycler, re-arranger, comme le fait le Kintsugi au Japon. La parabole de la colle d'or japonaise, ou Kintsugi, est une technique de réparation d'objets cassés, notamment en céramique, où les fissures sont réparées avec de la laque mélangée à de la poudre d'or, créant ainsi des lignes dorées qui mettent en valeur les cicatrices de l'objet. Cette pratique, loin d'être une simple réparation, est une véritable philosophie qui célèbre l'imperfection et la beauté de ce qui a été brisé et réparé

Je trouve mon énergie réchauffante du pas de côté dans ces interactions qui deviennent dure, tendues voire nocives qui font les blocages : refus d’aborder, de discuter, d’autoriser les ressentis et les émotions pour solutionner simplement, librement, ensemble et vibrer. N’est-il rien de plus beau que de se réunir, sourire, respirer, jouer et solutionner sans crainte ni appréhensions, juste en étant…soi?

J’aime 
faire surgir de nouvelles idées, paradoxalement dont le but est de faire resurgir des belles choses, des pratiques saines, des moments précieux, éthiques, projets un peu fous, pour faire apparaitre au monde, cicatriser, panser, adapter des modèles en douceur, avec l’humain toujours comme gouvernail.

Plus jeune, alors que j’étais très vite passionné de fantaisie, de science-fiction, d’automobiles, de vitesse et de mouvement, je me suis créé une forme de monde, mais j’étais socialement toujours soit en arrière, soit en avant dans de nombreux moments de vie. 

J’ai progressivement étudié chaque moment où je me sentais le plus vivant (dans une forme de fiction collaborative) . J’ai appris à vivre l’instant, le prendre intégralement autour de ma quarantaine. Avec tout ce que cela comprend de brouillards, de brumes mais aussi de grands moments de soleil, et de cailloux dans mes chaussures, qui sont devenus des petites étoiles d’or sur mon chemin. 

Je vous propose tout simplement d’échanger, vous détendre pour découvrir ce qui occupe votre esprit, et comment nous pourrions retirer les cailloux de vos chaussures.